vendredi 9 décembre 2011

Un ancien officiel du gouvernement chinois révèle que les extraterrestres sont parmi nous!

 
*La série américaine "Le Complot" expose que des extraterrestres d'apparence humaine, ayant une minime différence au niveau de l'ADN, se sont infiltrés dans nos sociétés pour faire des enfants aux femmes de la terre, pour vivre pacifiquement avec nous. Jusqu'au jour où ils se dévoilent et décident de prendre la terre comme demeure pour leur peuple...
En ce qui me concerne, après 10 ans de recherches, je ne crois pas à l'existence "d'extraterrestres", mais plutôt à des créatures qui sont le résultat d'hybridation d'origine humaine et d'origine spirituelle. L'histoire des grandes civilisations témoigne de la présence de ces créatures, parfois vénérées comme des dieux, parfois dépeintes comme des monstres hideux et terrifiants. Toutes ces histoires ne peuvent pas être le résultat d'un délire collectif qui s'est perpétué, avec des similarités étonnantes, de millénaire en millénaire... Est-ce que les "extraterrestres" sont parmi nous? Je n'en ai aucune certitude, mais je n'en serais pas du tout étonnée!
 
Sun Shili, un fonctionnaire de l'ancien ministère des affaires étrangères qui est maintenant président de la recherche sur les UFO de Beijing, a déclaré que les extraterrestres marchent parmi nous sur la terre, qu'ils sont partout, tant comme travailleurs en usine que dirigeants dans les sphères de pouvoir au sein d'industries et de gouvernements.
La Chine est reconnue comme ayant le nombre record dans le monde d'organisations scientifiques de recherche sur les phénomènes extraterrestres. La Société Nationale des Études Extraterrestres est un centre de recherche financé par le gouvernement, composé exclusivement de scientifiques et d'ingénieurs, dont le tiers des membres sont aussi membres du gouvernement.
 
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Autres informations, en anglais, sur le même sujet:
 
 
 
Est-ce un vaisseau spatial que la NASA a observé à côté de Mercure ?



Alors que des astronomes observaient à proximité de Mercure une éjection coronale venant du Soleil, ils ont aperçu sur les images un gigantesque objet de forme étrange... qui ressemble un peu à celle d'un vaisseau spatial. 

C'est une découverte qui ne va pas manquer de relancer le débat sur l'éventuelle existence d'une vie extraterrestre. Des astronomes de la NASA ont observé une séquence particulièrement intéressante : une éjection de masse coronale provenant du Soleil et atteignant la planète Mercure. Jusqu'ici, l'observation datant du 1er décembre n'est pas totalement inédite, du moins avant que l'on note un détail très intriguant. En effet, alors que le vent solaire chargé de particules s'approche de Mercure apparait soudainement sur l'image une forme inhabituelle. Un objet allongé qui semble former de deux parties séparées et attachées entre elles : il n'en fallait pas plus pour que la vidéo crée le buzz sur la Toile et soit l'objet de toutes les hypothèses.
SiniXster, le membre qui a mis en ligne la séquence sur Youtube a ainsi expliqué dans son commentaire : "C'est cylindrique de chaque côté et il y a une forme au milieu. Cela ressemble vraiment à un vaisseau spatial pour moi, et très clairement, c'est masqué". Selon les hypothèses qui voient dans l'objet un vaisseau spatial, l'engin volerait en fait caché et ce serait le vent solaire chargé de radiations qui aurait dévoilé sa présence. Mercure serait-il le lieu d'atterrissage d'un vaisseau gigantesque ? Non, d'après les scientifiques de la NASA. En effet, les images prises par le télescope Heliospheric Imager-1 ont été étroitement examinées par l'United States Naval Research Laboratory et notamment par l'ingénieur Nathan Rich qui révèle la supercherie : il s'agirait en fait de l'image de Mercure du jour précédent.

Un artefact devenu lumineux 

Pour s'assurer que l'éjection coronale a bien eu lieu, les chercheurs ont comparé l'image avec une autre prise le jour d'avant et ont enlevé tout ce qui apparaissait deux fois, ce qui suggère que l'élément interfère avec la lumière. Grâce à ce procédé, les étoiles sont facilement éliminées mais les objets mouvants comme les planètes le sont beaucoup moins. "Quand on réalise ce procédé entre le jour précédent et le jour actuel et qu'il existe des objets comme une planète, cela introduit des artefacts sombres à l'endroit où la planète se trouvait le jour d'avant, qui apparaissent ensuite comme des régions luisantes sur l'image améliorée", a expliqué Nathan Rich à Space.com.
Un phénomène qu'a confirmé l'astronome Heather Cooper citée par le Daily Mail : "Les scientifiques ne se sont pas occupés de soustraire l'image de Mercure. Les techniciens disent que le problème est que lorsque l'on soustrait quelque chose qui bouge, les pixels se mélangent les uns avec les autres". Elle a également ajouté : "C'est impossible qu'il existe un vaisseau spatial extraterrestre de la taille de Mercure, elle-même de la taille de la Lune, et qu'on ne connaisse pas son existence".  

Maxisciences 


Le programme de recherche de vie extraterrestre SETI relancé


Mis en hibernation depuis des mois, le programme de recherche de vie extraterrestre SETI (Search for Extra-Terrestrial Intelligence) va être relancé. La planète Kepler 22b, jumelle de la Terre qui vient d'être découverte, fait naturellement partie des principales cibles de ces nouvelles recherches financées grâce aux dons des internautes et l'US Air Force.
Grâce à un programme lancé sur Internet, www.SETIStars.org, qui a permis de récolter plus de 200.000 dollars de dons en ligne, ajouté à un fonds financé par l'U.S. Air Force, le programme de recherche de vie extraterrestre SETI (Search for Extra-Terrestrial Intelligence) va pouvoir être relancé. Le radiotélescope ATA (Allen Telescope Array), chargé de ces recherches, avait été mis en hibernation en avril dernier suite au retrait de l'ancien partenaire de l'Institut SETI, l'université de Californie Berkeley, qui doit faire face à des déficits budgétaires.
L'annonce de la reprise de ce programme est faite juste après que la NASA a révélé avoir découvert dans le cadre de sa mission Kepler, une planète jumelle de la Terre où la vie est susceptible d'exister. Baptisée Kepler-22b, elle est située à 600 années-lumière de la Terre, et fait environ 2,5 fois la taille de notre planète. Les scientifiques évaluent sa température de surface à une moyenne de 22 degrés Celsius.
Les premières cibles visées par l'ATA sorti de son hibernation seront certaines des nombreuses exoplanètes récemment découvertes par Kepler. La planète Kepler-22b en fait naturellement partie, indique l'Institut. "Il s'agit d'un type de monde qui pourrait être la maison d'une civilisation capable de construire des émetteurs radio" s'enthousiasme dans un communiqué Jill Tarter, le directeur du Centre de recherche de l'Institut SETI.

De nombreux systèmes planétaires à étudier 

La plus haute priorité sera donnée aux planètes situées dans la zone habitable de leur étoile, où la gamme des rayons orbitaux offre des températures ni trop chaudes ni trop froides permettant à l'eau d'exister à l'état liquide. La plupart des astrobiologistes considèrent celle-ci comme la condition sine qua non de la vie.
Mais à terme, le SETI entend examiner tous les systèmes planétaires observés par Kepler. Car "comme pour toutes les recherches, les idées préconçues telles que les zones habitables pourraient être des obstacles à la découverte" souligne Jill Tarter.

Maxisciences

Revoir article précédent:Des dons privés au secours de la recherche extraterrestre
 

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